Retrouvez les précédents articles de cette chronique spéciale où je traite de la solidarité qui se crée sur Internet en cliquant ici.

L’après confinement va poser des questions. Que faire des semaines qui viennent de se passer ? Faut-il les voir comme une parenthèse (dès)enchantées ? Faut-il en tirer des leçons, les oublier ou au contraire en faire l’acte fondateur d’un "Nouveau Monde" ?

Je suis doctorant en histoire. Si j’ai choisi cette voie, c’est parce que j’aime étudier la société, voir l’évolution des interactions humaines. En lisant l’édito du 30 avril 2020 de Sacha Benhamou* dans L’Opinion (« Demain, une société de confiance »), il m’est apparu une question fondamentale sur le futur de cette « solidarité spontanée ». Doit-elle continuer à émerger après le 11 mai, ou devenons-nous attendre des institutions publiques qu’elles prennent le relais ? En effet, l’Etat est censé faire office de la gestion des solidarités. Nous acceptons en vivant en son sein, les obligations mais aussi les privilèges que cela implique.

Retrouvez dans la vidéo ci-dessous cet échange enregistré le 4 mai 2020. Vous pouvez trouver les les questions et leur minutage en dessous de la vidéo.

00:00 - 01:27 : Avant-propos et introduction
01:27 - 04:44 : L'origine de la tribune
04:44 - 08:58 : Un effet trompeur des médias ?
08:58 - 15:39 : Le rôle de la société civile dans la solidarité
15:39 - 21:35 : Quelles pistes d'actions ?
21:35 - 23:55 : Quel monde demain ?
23:55 - 26:54 : Le point culture
26:54 - 27:25 : Conclusion et remerciement

Bon visionnage et bonne lecture !

Simon

*Sacha Benhamou est avocat de formation et consultant chez Commstrat, une agence de communication spécialisée dans les relations publiques.

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