Journal de bord #7 : Préparation de la soutenance et diffusion des démonstrateurs
Publié par Zoé Edouard, le 10 novembre 2020 940
De retour au Médialab de Sciences Po Grenoble pour une séance … confinée ! Si les derniers rendez-vous de notre Médialab avaient eu du mal à faire salle comble à l’IEP -en cause les nombreux cas contacts du master- cette fois-ci tout le monde est à distance sans exception. Heureusement la technologie est là pour accompagner les étudiants de M2 Transmédia dans la dernière ligne droite du projet avec la cinémathèque.
Rencontre avec nos nouvelles interlocutrices de la cinémathèque
La séance commence sous le signe du changement. Laura Schlenker a convié Anaïs Truant et Jenny Jean Penelon, désormais nos interlocutrices à la cinémathèque, suite au départ de Peggy Zejgman-Lecarme vers de nouvelles aventures professionnelles. Jenny Jean Pelleton est chargée à la cinémathèque de la relation avec le public et la gestion du site internet et des réseaux sociaux. Anaïs Truant, auparavant exploitante dans une salle art et essai, occupe le poste d'administratrice et gère notamment la partie financière et les relations avec les distributeurs.
L’adaptabilité : maître mot de la réussite
Décidément, le Médialab de Sciences Po Grenoble aura été riche en rebondissements cette année ! Le changement d’interlocutrices à la cinémathèque et la situation sanitaire ont amené les étudiants et Laura Schlenker à s’adapter. Heureusement tout le monde s’est montré très coopératif et l’on peut affirmer que les étudiants de M2 Transmédia font preuve d’adaptabilité.
Mais pour s’adapter et poursuivre les projets dans le futur, encore faut-il connaître les étapes précédentes. Le travail de documentation réalisé a donc pris tout son sens avec ce changement chez notre commanditaire. Anaïs Truant et Jenny Jean Penelon ont pu lire les articles postés après chaque séance et découvrir les projets des quatre groupes pour nous accompagner au mieux avant la soutenance.
En route vers la soutenance
C’est la dernière séance avant la soutenance qui se tiendra le 6 novembre. Théodore essaye subtilement de connaître le projet préféré de la cinémathèque. Mais Anaïs Truant se garde bien de lui répondre, affirmant cependant que plusieurs projets semblent réalisables et sont très enthousiasmants. Il n’est donc pas impossible que la cinémathèque recontacte certains des étudiants … Voilà de quoi encourager les différents groupes !
Les deux interlocutrices de la cinémathèque nous donnent enfin quelques conseils pour une soutenance réussie :
Les groupes doivent s’imprégner des objectifs menés dans une cinémathèque afin que tous les projets incarnent les missions de celle de Grenoble.
Mettre en avant la faisabilité globale de leur projet.
Incarner leur projet et transmettre leur envie de le développer : « c’est votre envie qui fera la nôtre », souligne Anaïs Truant.
Au travail !
Le laboratoire de diffusion
Suite à cette réunion instructive avec les commanditaires du projet de la Cinémathèque de Grenoble, chaque groupe s’est réuni pour choisir la ou les plateformes de diffusion du démonstrateur de leur projet et créer une licence Creative Commons qui sera indiquée en légende de chaque publication.
L’ensemble des groupes a choisi de réaliser une vidéo pour présenter leur projet. Différents formats ont émergé : vidéo promotionnelle, teaser, making-of… Nous avons eu plaisir à constater l’avancement de l’ensemble des projets en les regardant.
En raison du confinement actuel les tournages prévus pour réaliser ces vidéos n’ont pas pu tous se faire. Certains groupes se sont donc adaptés en faisant leur vidéo à partir d’images existantes pour illustrer leurs propos. Une fois tous réunis pour clôturer cet atelier, la question des droits de diffusion d’extraits d’oeuvres musicales ou audiovisuelles est apparu comme une problématique commune à plusieurs groupes. Laura Schlenker encadrant le projet, s’est engagée à se renseigner sur le sujet d’ici notre prochain Médialab. Ainsi nous saurons si nous pourront ou non diffuser les vidéos en l’état, et quelle procédure devrions-nous suivre si nos projets venaient à se réaliser.
Camille Morille et Zoé Edouard