Thématiques reliées :

1 - La capacité attentionnelle
2 - La capacité de décision
3 - La capacité de mémorisation
4 - Les capacités d'imagination et de créativité
5 - La capacité de résilience
6 - Capacité d'apprentissage
7 - La place de l'intuition

1 - La capacité attentionnelle

Les processus attentionnels ont été classés par JeanPhilippe Lachaux en deux familles : un processus très rapide inconscient et un processus plus lent et conscient appelé système exécutifs. Pour plus d'informations consulter les documents associés à l'article bienveillance en réunion. Cet article utiliser les apports de cette thématique pour s'engager dans la voie des discussions profondes nécessaires au partage de cartes du monde multipolaires en particulier. Il est clair pour JP Lachaux que les processus attentionnels sont le fruits de théories spéculatives non vérifiables actuellement. Ce que l'on peut évaluer scientifiquement ce sont les comportements biologiques de certaines zones du cerveau aux effets produits par des processus attentionnels singuliers comme les pratiques méditatives, les erreurs attentionnelles provoquées ou encore des contraintes très simples dans des expérimentations de recherche.

2 - La capacité de décision

La fonction globale du cerveau est de prendre des décisions, des plus simples et automatiques aux plus complexes. Dans bien d'autres endroits du corps des décisions complexes sont prises au niveau macro ou organique : délégation ou travail en parallèle avec le cerveau ???? Exemple le battement du coeur peut être modifié inconsciemment par le stress, les émotions ou consciemment dans le cadre sportif par le contrôle respiratoire ou par des techniques de méditation. Les hautes facultés de décision que l'on pourraient appelées cognitives mais qui fond aussi appels aux émotions aux intentions et désirs sont influencées par le développement culturel. Deux articles de Laurent Vercueil sont très intéressants sur ce point : l'état du cerveau post numérique et sur un autre plan plus fonctionnel ( théorie de l'évolution) le choix du cortex Nous faisont souvent confusion entre l'acte de décider et l'attribution du pouvoir de décision. Voir l'article l'espace social de décision granulaire.

3 - La capacité de mémorisation

Notre culture occidentale a historiquement privilégier la mémoire du passé au détriment de la mémoire du futur. Tout acte de remémoration s'effectue à l'instant présent. Comme Bernard Stiegler l'énonce, nous pouvons parler d'une représentation spatialisée du temps avec sa dimension passé (histoire, itinéraire de vie des individus et des communautés humaines), sa dimension actuelle (le diagnostic de situation multipolaire ) et sa dimension future (visions stratégiques, intentions et systèmes de valeurs qu'elles soient individuelles et collectives). voir un petit texte introductifs attentions mémoires en travaux

4 - Les capacités d'imagination et de création

5 - La capacité de résilience

6 - Capacité d'apprentissage

du dualisme dans les neurosciences comment s'en débarrasser

cartes du monde multipolaires

point de vue des sciences cognitives

7 - La place de l'intuition

L'article de Laurent Vercueil aborde l'intuition : l'IA au secours de l'intuition sur une certaine facette très symptomatique des scientifiques. Il me semble que l'intuition est le produit ou résultat d'un processus (ou ensemble de processus) inconscients, de maturation de l'expérience mais aussi des apprentissages c'est à dire du conditionnement de notre cerveau. La maîtrise de ce conditionnement qui passe par la déconstruction d'autres conditionnements est l'un des espaces clés de mise en oeuvre de notre libre arbitre, dans une temporalité qui n'est pas celle de l'instant présent. L'intuition, qu'elle soit lente dans l'exercice du raisonnement logique ou fulgurante dans la faculté créatrice est le résultat de facultés cérébrales qui sont au cœur du développement de l'intelligence ou faculté d'adaptation et de prises des décisions stratégiques. L'une des dimensions de l'intelligence est le conditionnement à élaborer des raisonnements logiques pour prendre des décisions sectorielles, incluant peu de paramètres.

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